Et Hillary Clinton et l'Amérique d'Obama de pontifier en ergotant...

   mais nous avons cessé de croire aux elfes, aux feux follets et aux soucoupes volantes depuis un certain temps


Je voudrais vous rapporter ici, l'esprit de l'excellente analyse de : Stéphane Juffa pour Metula News Agency ce Dimanche 19 avril 2009.




Désormais, les experts occidentaux estiment que le "point de non-retour" participe d'une discussion dépassé. Téhéran possède dès maintenant la capacité de développer des bombes atomiques.

Jusqu'au fameux point de non-retour, on pouvait empêcher la République Islamique d'atteindre la capacité de fabriquer des bombes. Depuis, on peut , dans le meilleur des cas, empêcher les Iraniens de réaliser leur capacité.

C'est fort différent, évidemment. Nous nous trouvons maintenant à un moment ou Téhéran va vouloir fabriquer des bombes , ainsi que les véhicules - les missiles _, nécessaire à les transporter sur leurs objectifs potentiels.

Les experts américains et israéliens ont fini par s'entendre sur l'état d'avancement du programme perse. 
Pour les Israéliens cette échéance se situe autour de 2010.
Les Américains, et notamment leur secrétaire à la défense Robert Gates, préfèrent avancer la date de 2013.

A Washington, on veut croire qu'il reste quelque chose à négocier, comme si on avait pas absolument tout tenté en matière de dialogue ces dernières années. Le nouveau président est persuadé qu'il peu instaurer un " autre dialogue" avec les ayatollahs; que lui, ils l'écouteront, et qu'ils reviendront à la raison.

D'ailleurs, à la Ména, nous n'avons cessé  de le rappeler depuis des années : c'est l'Iran qui s'est déclaré en guerre avec l'occident, et pas le contraire. Personne, que ce soit aux USA, dans l'union Européenne, et encore moins Israel, n'a jamais , depuis l'avènement du dernier Shah, nourri de visée territoriales sur la Perse et ses richesses en matières premières.

Pour les mollahs, l'avènement d'Obama à la présidence est une aubaine et rien d'autre. Ils déteste toujours autant les symboles de notre civilisation et sont plus que jamais, décidés à la détruire.

Et Hillary Clinton et l'Amérique d'Obama de pontifier en ergotant...
On fera la paix avec les Iraniens en dépit du fait qu'ils ne feront pas la paix avec nous.

Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut as voir. En matière de bombe iranienne, on est entré dans les arrêts de jeu. Ce qui est sur, c'est que le temps du prêcheur Obama est minuté. Ce qui l'est tout autant, sur, c'est que plus on attendra pour neutraliser la menace, et plus ce sera difficile, aléatoire et dangereux pour le monde.

Dans le cadre du Djihad global, le régime iranien deviendrait l'idole de tous ceux qui entendent imposer le règne d'Allah sur les vestiges de la planète bleue.

Les premières bombes atomiques de la révolution islamique serviront de protection infranchissable à la fabrication des générations suivantes, et on verra des bases de missiles Shihab bourgeonner ans la Bekaa, en Syrie, ainsi que dans toutes les autres contrées qui auront cédé à la sédition islamiste.


On peu rever mieux pour l'avenir de nos enfants, j'en conviens. Et l'Europe n'a ni les leaders qu'il faut, ni l'épine dorsale requise pour s'opposer au projet des ayatollahs. Si le monde devait s'appuyer sur les Merkel, Brown, Sarkozy et consorts, on parviendrait en 2014 sans avoir réalisé la moindre tentative effectivement dissuasive pour  éviter le scénario catastrophe.


Heureusement pour le monde , il reste un petit pays peuplé d'irréductibles Hébreux, qui n'entendent ni se laisser rayer de la carte du monde - comme les en menace textuellement Ahmdinejad - sans réagir, ni même vivre sous le chantage perpétuel à l'apocalypse et au génocide.

Or si l'on en croit le Times londonien d'hier, plus quelques autres sources concordantes localement, les Hébreux se préparent à la guerre.

Au journal Yedioth Aharonot, o a entendu des voix exprimant que l'okay pour une attaque des installations nucléaires et de missiles pourrait être directement conditionné par l'évacuation d'implantations, ainsi que des avancées concrètes en direction de l'Etat de Palestine de Sami El Soudi.

Toujours est-il que quelque chose a changé dans l'entraînement de Tsahal en vue d'une frappe chez les ayatollahs. Et cette chose , c'est l'éventualité que nous agissions sans l'assentiment de la Maison Blanche et du Sénat, afin qu'ils applaudissent si fort, qu'on ne pourrait pas entendre les commentaires probablement désagréables du Président.




source : Metula News Agency
Par Stéphane Juffa

Lors, la condition de la réussite d'une action qui se ferait à l'insu du Mahatma Obama, repose sur deux éléments : la durée, il faudra mettre le paquet sur un laps de temps, le plus court possible, et le moment qui s'écoulera, entre la décision politique d'agir et l'action elle-même.

Pour le "Times" de ce week-end, Tsahal se préparerait à intervenir quelques jours seulement après avoir reçu le feu vert du gouvernement. En fait, l'opération doit être un succès absolu - parce que les retouches seront pratiquement impossibles -, et tous les irréductibles devront avoir regagné une terre hospitalière, quelques  heures après avoir reçu l'ordre d'action de la part de l'exécutif.

Israél désire que le Saint Barack Obama sache qu'il ne fait pas uniquement ce qu'il entend et ce que le Concile des évêques juifs de Jérusalem veille au grain.

Que lorsqu'Ahmadinejad réafirme que "l'Iran a besoin de la technologie nucléaire afin de générer de l'électricité, pour qu'il puisse exporter plus de gaz et d pétrole", il existe au moins un territoire sur Terre ou on ne se cache pas pour en rire.